Qui n’a jamais entendu des expressions comme Groupe Bilderberg, Commission Trilatérale, Groupe des 300, CFR, tel ou tel Club, le Conseil de Politique Nationale (CPN), la Coalition pour la Liberté de Religion (CLR), la Fédération des Femmes pour la Paix Mondiale, la Fédération Familiale pour la Paix Mondiale, le Conseil des 56 de la Table Ronde Religieuse, etc. ? Ces « institutions » mondialistes regroupent des individus qui jouent un rôle majeur dans la marche de notre monde vers un Nouvel Ordre Mondial, termes que le Président Bush a utilisé pour la première fois lorsque le Koweït fut envahi par l’Irak, en 1990, en plein accord avec Washington.
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C’est l’ensemble des articles sur le libéralisme catholique qu’il avait fait paraître dans l’Univers, journal de Louis Veuillot.
L’auteur, formé à l’école des principes romains, suit en tout le jugement des Papes sur les doctrines et les faits historiques. Comme, depuis notre plus tendre jeunesse, nous respirons sans cesse une atmosphère de libéralisme, cette lecture permettra de rejeter les miasmes qui pourraient finir par nous infecter gravement, et de recouvrir une pleine santé spirituelle ; car si le libéralisme catholique ne va pas en général jusqu’à nier les dogmes de la foi, néanmoins il tend à corrompre bien des vérités qui sont comme des contreforts de l’édifice.
Pour ranimer le courage des catholiques, l’Abbé Barbier entreprend d’examiner en détail la question du Ralliement. Il se trouve en face de deux questions : y aurait-il une distinction à faire entre les principes de morale politique que Léon XIII, usant du pouvoir de sa charge, a recommandés aux catholiques, et l’action politique qu’il a exercée selon ses vues personnelles ? — Léon XIII s’est-il trompé ou a-t-il été induit par d’autres en erreur, sur l’appréciation des faits qui a déterminé son action politique ?
Documentation précise et variée. On peut s’en inspirer pour des réflexions sur le Concile Vatican II et la période de l’après-concile.
L’encyclique Pascendi atteignit en plein cœur les démocrates chrétiens. Cependant ils continuèrent de plus belle en protestant qu’ils avaient toujours été absolument indemnes de ces déviations. Rien de nouveau sous le soleil, on retrouve encore de nos jours, cette fois étalées avec une victorieuse complaisance, les mêmes idées.
L’Abbé Emmanuel Barbier a composé cet ouvrage (197) pour ses contemporains (abusés par l’imperturbable aplomb des fauteurs et propagateurs de ces hérésies) et arracher le masque des démocrates sous lequel ils prétendent, toujours, avancer.
Au XIXème siècle, Ignace Briantchaninov (1807-1867) était considéré comme un saint. Il fit une prédiction étonnante, évoquant dans le futur : une nouvelle religion centrée sur l’Homme et l’émergence d’une nouvelle Babel.
En mai 1895, en visitant le Palais Borghese, alors loué, les représentants de cette illustre famille découvrent avec horreur une salle toute dévouée au culte de LUCIFER.
Qui sont les disciples de la Bête immonde ? Quel est leur plan ? Comment espéraient-ils façonner une nouvelle civilisation antichrétienne qu’entendent achever des marionnettistes de la trempe de F. Hollande et de ses séides ?
E.S. 1025 est un des documents les plus importants du XXe siècle. Il est aussi connu sous le titre Les mémoires d'un anti-apôtre. Il raconte l'histoire d'un agent communiste formé en Union soviétique pour infiltrer l'Eglise catholique dans le but de la corrompre par les idées modernistes répandues via des voies subtiles.
Marie Carré est une ancienne infirmière protestante. Appelée à soigner un patient inconnu et gravement blessé dans un accident de voiture, elle reçut l'ordre de fouiller les affaires personnelles du blessé pour y chercher une pièce pouvant l'identifier. En ouvrant sa mallette, elle découvre alors un manuscrit d'une centaine de pages intitulé tout simplement Mémoires. C'est ce document que Marie Carré publiera en mai 1972