Il semble que c’est vouloir porter de l’eau à la mer que de donner au public un livre qui traite des grandeurs de la Sainte Vierge, vu que tout le monde en est à présent si rempli qu’on ne voit presque autre chose partout ; nul sujet sur lequel on ait plus raisonné, plus parlé, ni plus écrit ; cependant on peut assurer qu’on n’en a encore presque rien dit, eu égard à ce qui s’en devrait dire : c’est un abîme dont on ne trouvera jamais le fond ; plus on y puise, plus on découvre à y puiser : et pour le dire en deux mots, le trésor des immenses richesses dont Dieu l’a remplie, est inépuisable.
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Il semble que c’est vouloir porter de l’eau à la mer que de donner au public un livre qui traite des grandeurs de la Sainte Vierge, vu que tout le monde en est à présent si rempli qu’on ne voit presque autre chose partout ; nul sujet sur lequel on ait plus raisonné, plus parlé, ni plus écrit ; cependant on peut assurer qu’on n’en a encore presque rien dit, eu égard à ce qui s’en devrait dire : c’est un abîme dont on ne trouvera jamais le fond ; plus on y puise, plus on découvre à y puiser : et pour le dire en deux mots, le trésor des immenses richesses dont Dieu l’a remplie, est inépuisable.
Il semble que c’est vouloir porter de l’eau à la mer que de donner au public un livre qui traite des grandeurs de la Sainte Vierge, vu que tout le monde en est à présent si rempli qu’on ne voit presque autre chose partout ; nul sujet sur lequel on ait plus raisonné, plus parlé, ni plus écrit ; cependant on peut assurer qu’on n’en a encore presque rien dit, eu égard à ce qui s’en devrait dire : c’est un abîme dont on ne trouvera jamais le fond ; plus on y puise, plus on découvre à y puiser : et pour le dire en deux mots, le trésor des immenses richesses dont Dieu l’a remplie, est inépuisable.
Voici plus d’une centaine d’années, en septembre 1852 pour être tout à fait exact, les Sœurs de Lorette vinrent dans le sud-ouest des Etats-Unis, voyageant en fourgon bâché et en bateau à aubes. Leur voyage avait débuté au mois de mai 1851, dans le Kentucky, sur un vapeur baptisé le « Lady Franklin », qui leur fit remonter le Mississipi jusqu’à Saint Louis ; de Saint Louis à Independance (Missouri), elles prirent le « Kansas » : mais en trajet, un grand malheur fondit sur la petite communauté. La Supérieure, Mère Mathilde, fut terrassée par le choléra et mourut peu après leur arrivée à Independance. Deux autres des Sœurs contractèrent aussi la maladie, mais en guérirent.
Antérieur au Cœur admirable, ce livret n’est pas un simple abrégé du précédent. On y trouve des passages nouveaux que le P. Eudes reproduisit plus tard dans le Cœur admirable, et d'autres qui ne se rencontrent nulle part ailleurs, par exemple une explication très précise du Te adoramus de l'Ave Cor sanctissimum, que les adversaires du Vénérable avaient critiqué.
On y trouve également un petit Office du Cœur de Marie, extrait du grand Office que le P. Eudes avait publié dans ses opuscules antérieurs ; et, dans un appendice de 17 pages, l'Ave Maria Filia Dei Patris, et deux cantiques notés, dont l'un n'avait pas encore été publié.
C’est le premier ouvrage où Saint Jean Eudes expose la doctrine sur le Cœur Immaculé de Marie et son culte. Après l’exposé doctrinal qui sera développé complètement dans le Cœur Admirable, le saint nous propose des formules de prières pour honorer le Cœur de la Très Sainte Vierge.
En 1648, au cours d'une mission qu'il prêchait à Autun, le P. Eudes soumit à l'approbation de l'Évêque du lieu, Monseigneur Claude de la Madeleine de Ragny, deux Offices composés par lui en l'honneur du très saint Cœur et du très saint Nom de Marie.
MISSIONNAIRE APOSTOLIQUE, Instituteur de la Congrégation de Jésus et de Marie, de l’Ordre Notre-Dame de la Charité et de la Société du Cœur Admirable de la Mère de Dieu. Auteur du Culte liturgique des SS. Cœurs de Jésus et de Marie.
Depuis les apparitions de Fatima et l’instauration de la Fête du 22 août, le peuple fidèle commence à entendre parler du Cœur immaculé de Marie et de sa dévotion, mais on est étonné de voir si peu d’écrits de valeur à ce sujet...
Les œuvres de Marie Lataste sont connues par leurs prophéties alors qu’elles forment en réalité une explication de tout ce qui regarde la vie chrétienne, le dogme, la morale, la vie spirituelle et la vie mystique, le tout rédigé dans un style sans équivalent.
« J’ai écrit selon que mon esprit me le rappelait. Le Sauveur m’a promis dès le commencement de m’instruire de la véritable science, de la science du salut. Il devrait donc y avoir dans ce que j’ai écrit par obéissance à mon directeur et aussi par obéissance à mon Sauveur, de quoi satisfaire les désirs de toute intelligence appliquée à son salut, de toute âme qui tend vers Dieu. Il sera facile surtout de disposer mes écrits de manière à ce qu’ils puissent être livrés aux fidèles et qu’ils en retirent un grand fruit. »
Avant de s’élever vers le ciel, à la Salette (1846), le visage baigné de larmes et tourné vers Rome, la T.S.Vierge Marie a donné cet ordre :
« Eh bien, mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple ! »
Que faut-il transmettre à tout le peuple de la Très Sainte Vierge Marie ?
La « Grande Nouvelle », objet de la contradiction : « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist […] La fin des temps […] ».
A l’heure même où la bergère de La Salette livrait cette « Grande Nouvelle » au public, un prêtre renégat et adepte du spiritisme complotait dans l’ombre sulfureuse : « La vieille Papauté, le vieux sacerdoce abdiqueront volontiers devant le Pontificat et devant les prêtres de l’avenir … »
Si la Catena Aurea de Saint Thomas est un ouvrage précieux pour qui veut avoir une vue rapide des commentaires de différents Pères sur un passage de l’Evangile, il faut dire que la lecture en continu est assez difficile à cause de toutes les redites.
Ludolphe, ancien dominicain et thomiste de ce fait, commente les saints Evangiles non seulement selon le sens littéral, mais aussi avec beaucoup d’applications des sens spirituels, et cite à profusion les auteurs ecclésiastiques qui l’ont précédé. On y trouve donc une riche mine de tout ce que l’on peut souhaiter comme connaissances religieuses. Ce fut le livre habituel de lecture spirituelle de Sainte Thérèse d’Avila et de Sainte Jeanne de Chantal et de bien d’autres.
Depuis quelques temps, nous voulions donner au lecteur un moyen d’espérer et de combattre, à son niveau, les manœuvres ourdies par la Synagogue de Satan.
Cette brochure démontre qu’à plusieurs reprises dans l’Histoire, le ROSAIRE a permis de vaincre les troupes du Prince de ce monde, de mettre en échec son programme de destruction de la France chrétienne.