VISIONS PROPHETIQUES DE DON BOSCO
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Né le 15 août 1815, ordonné prêtre à Turin en 1841, don Bosco se voua aussitôt aux enfants abandonnés de cette grande cité industrielle, aux malades et aux prisonniers. Alors commencèrent ses fondations et ses entreprises qui tiennent du prodige et ne s'expliquent que par l'intervention de la Providence en laquelle il eut toujours une confiance inébranlable... Pour recueillir des enfants pauvres de plus en plus nombreux, il lui fallut perpétuellement changer de local; il fut amené pour cela à opérer des transactions qui le firent passer pour fou... Mais des songes dont il a, en certains cas privilégiés, écrit lui-même la relation, guidaient son ardeur apostolique.
Ce que ne disent guère les biographes, ce fut la haine que les démons et leurs suppôts de l'époque, les francs-maçons piémontais, lui portaient, entravant ses projets, menaçant sa vie, cherchant à ruiner son œuvre immense. Rien n'y fit. A la fin de sa vie, sa réputation de sainteté dépassait l'Italie. Ses voyages en France, en Espagne, en Belgique furent de véritables triomphes. En lui, on acclamait l'apôtre de la jeunesse ouvrière, mais plus encore le thaumaturge. Les prodiges: annonces de l'avenir, voyances inexplicables, guérisons, furent en effet monnaie courante dans son existence.
Pie IX le tenait en très haute estime pour sa finesse diplomatique à laquelle il eut recours en plusieurs tractations difficiles, mais plus encore pour son immense charité apostolique. Léon XIII, en apprenant sa mort, murmura par trois fois avec émotion: Don Bosco est un saint. C'était le sentiment universel. Saint Pie X introduira sa cause en 1907 et Pie XI le canonisa en 1934. Sa fête se célèbre au jour anniversaire de sa naissance au Ciel, le 31 janvier 1888
Format A4 – 14 pages
Né le 15 août 1815, ordonné prêtre à Turin en 1841, don Bosco se voua aussitôt aux enfants abandonnés de cette grande cité industrielle, aux malades et aux prisonniers. Alors commencèrent ses fondations et ses entreprises qui tiennent du prodige et ne s'expliquent que par l'intervention de la Providence en laquelle il eut toujours une confiance inébranlable... Pour recueillir des enfants pauvres de plus en plus nombreux, il lui fallut perpétuellement changer de local; il fut amené pour cela à opérer des transactions qui le firent passer pour fou... Mais des songes dont il a, en certains cas privilégiés, écrit lui-même la relation, guidaient son ardeur apostolique.